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Une explosion de désir au Bureau

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Résumé : Léa et Stéphane se connaissent depuis plus de 2 ans. Ils se désirent en secret mais n’en savent rien. Stéphane rêve de faire grimper Léa au rideau… Y arrivera-t-il ? Léa est mariée…

Ca va faire deux ans qu’ils se côtoient au bureau. Il a quelque chose d’attirant pour elle, elle n’arrive pas à savoir quoi exactement, peut-être sa façon d’être à la fois très accessible et complètement hors de portée. Sa façon de la faire rire, ou de se comporter envers elle. Sa façon de passer son bras autour de ses épaules en geste amical, ou peut-être pas ? Enfin ce côté un peu mystérieux qui lui sied si bien.

Une explosion de Désir au Bureau! On ne peut pas dire que c’est un homme beau. Universellement, chacune son avis sur son physique. Ce qui est sur c’est qu’il n’est pas moche, ni désagréable à regarder. Il a un charme qu’elle apprécie beaucoup. Et depuis un certain temps, elle ressent un certain désir pour cet homme. Elle est pourtant mariée et comblée, mais son mari étant Stewart, elle ne le voit que peu. C’est alors son désir trop fort souvent qui la pousse à penser à cet homme, à ce compagnon de bureau… Et le soir dans son lit, il lui arrive de s’imaginer avec lui.

Elle se plait à l’imaginer fou de désir pour elle, le sexe tendu à son maximum, complètement incontrôlable en la voyant nue sur son lit. Elle aime à s’imaginer le rendre fou, lui donner un plaisir sans égal… Cette idée l’excite beaucoup. Elle en a un peu honte vis-à-vis de son mari, mais elle ne peut pas s’en empêcher.
Des fois, c’est en le regardant seulement qu’elle le trouve le plus attirant, quand il est concentré dans son travail, elle détaille ses bras quelques peu musclés, essaye de deviner son corps sous sa chemise.
Il lui arrive même de laisser son regard trainer du côté de son sexe à lui, mais très vite elle se ravise et change d’idée. Quand il n’est pas sous ses yeux, elle laisse vagabonder son esprit et l’imagine au boulot, en tenue de travail, le sexe bandé sous son pantalon… Elle avait de plus en plus de mal à ce concentrer, été de plus en plus de plaisir à aller au boulot. Elle sait qu’elle va le retrouver, le voir, lui parler. Et essayer de le séduire.

Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’elle l’a déjà séduit. Il la voit tous les jours depuis deux ans, et depuis environs 6 mois, leurs rapports se sont fait plus proches, pas encore intimes, mais ça lui a suffit pour remarquer à quel point cette femme lui plaisait. Son naturel, son sourire, son caractère fort. Elle l’intimidait beaucoup. Elle est mariée et si inaccessible… Mais pourtant, il la voit chaque jour plus aimable, plus proche, plus belle ! Souvent seul dans son lit il atteint un plaisir intense en pensant à elle, il l’imagine s’offrant à lui. Ses seins nus, ses fesses…
Il l’imagine sauvage, féline, fougueuse, prenant un plaisir apparent à chacun de ses coups de reins en elle.
Il l’imagine frémissante, fragile sous ses caresses et sous ses doigts agiles. Au bureau il s’empêche de penser à elle de cette façon ou de la regarder avec trop d’arrière pensées, sinon il sait dans quel état allait finir son bas-ventre ! Et devant elle ça serait énormément embarrassant.

Ce matin c’est Lundi, le mari de Léa n’est pas revenu ce week-end, il avait un voyage important. Du coup, elle est restée seule tout le week-end, à penser à Stéphane, son cher compagnon de bureau.
Elle est on ne plus heureuse de retourner au bureau ce matin, elle choisi de mettre un soutien-gorge push up et un chemiser un peu ouvert, une jupe droite violette et une veste assortie. Elle laisse ses cheveux bouclés détachés et sort de chez elle, non sans avoir mis du parfum sucré et gourmand mais discret toutefois. Et c’est montée sur des escarpins noirs qu’elle prend la route du bureau.
Elle a hâte de retrouver Stéphane. Elle sent son bas-ventre se chauffer un peu, elle n’a pas fait l’amour depuis deux semaines, ça ne lui était jamais arrivé depuis qu’elle s’est rapprochée de Stéphane. Son mari rentre le week-end normalement. Là elle sait qu’elle en a très envie et que Stéphane risque de l’exciter au moindre geste envers elle. Elle voulait donc lui rendre la pareille en se faisant plantureuse.

Effet plus que réussi ! Dès que Stéphane l’a aperçue, il a du détourner le regard très vite pour ne pas se retrouver dans une situation très embarrassante. Il lui a dit bonjour en essayant de penser à sa grand-mère, à son chat, à n’importe quoi d’autre que ses jambes nues, son magnifique décolleté ou même ne serais-ce que sa bouche, son sourire sensuel.
Heureusement, la patronne s’est pointée et a appelé Léa pour régler une histoire de client. Stéphane à pu se mettre au travail tranquillement sans trop penser à elle.
Vers 11 heures, alors qu’elle revenait de sa pause café, en passant devant le bureau de Stéphane elle lui a proposé de déjeuner ensemble à midi. D’un ton blanc, il lui a répondu que c’était une bonne idée, et c’est donc au petit restaurant d’à côté qu’ils allaient aller déjeuner tout les deux.

A midi ils se sont retrouvés à ce petit restaurant-snack et ont commandé une pizza pour deux. Ils ont discutés de tout et de rien, ils ont rit, ils ont parlés sur le dos de leur boss. On aurait dit deux ados titillés par leurs hormones. Stéphane savait beaucoup de choses sur Léa et sa vie de couple.
– Tu as revu ton mari ce week-end ?
– Non… Il avait un voyage à Moscou.
– Ca fait combien de temps qu’il n’est pas rentré ?
– Deux semaines…
– Ca fait long ça !
– Oui…
– Et tu le vois ce week-end ?
– J’espère bien ! Il doit rentrer normalement, ce week-end et pour la semaine suivante.

Elle aurait eu envie de dire, « j’espère bien ! Sinon je vais te sauter dessus ! »

Lui a caché sa déception en apprenant que la semaine suivante elle le retrouvera tous les soirs…

Il avait tellement envie d’elle tout le temps qu’il ne supportait que difficilement de la savoir satisfaite d’un autre. Léa ne savait plus très bien quoi penser, elle était très heureuse avec son mari, et elle était heureuse de le retrouver mais en même temps elle se sentait de plus en plus attirée par Stéphane… Elle pensais qu’une fois son mari retrouvé, son désir comblé, elle se sentirait moins désireuse envers Stéphane.

Lorsque que son mari est arrivé à la maison, c’est limite si elle ne lui a pas sauté dessus. Elle lui ôté ses vêtements prestement, lui aussi semblait très excité, il bandait déjà, elle a pris son sexe en main, l’a masturbé avec envie, puis elle s’est accroupie devant lui, présentant sa bouche à ce sexe tendu.
Elle n’a pas attendu avant de poser sa langue sur le gland, puis d’engloutir le sexe dans sa bouche et de commencer des va-et-vient avides. Lui se laissait aller, mais ne voulait pas venir dans sa bouche.
Il a pris sa tête et l’a forcée à se relever, presque avec regret elle a lâché ce beau sexe et est remontée vers sa bouche. Ils se sont embrassé passionnément avant qu’il la prenne par les hanches, la mette face au mur et se place derrière elle. Elle a mit ses mains sur le mur, et à cambré son dos, pour présenter son sexe brûlant de désir au sexe bandé de son mari.

Il place le gland à l’entrée et, la prenant à nouveau par les hanches il s’enfonce en elle, la pénétrant de tout son long. Elle lâche un cri de plaisir… Leurs ébats ont duré toute la nuit, ils étaient tellement content de se retrouver l’un et l’autre, ils ont fait l’amour trois fois dans la nuit. Léa n’avait pas pris son pied de la sorte depuis un bout de temps. Elle avait été mise à l’épreuve avec Stéphane pendant trois semaines et là enfin elle pouvait se lâcher, tout donner ! Pendant la semaine où son mari est resté à la maison, elle voyait Stéphane la journée, elle était très excitée en retrouvant son mari le soir et ils faisaient l’amour tous les soirs, avec fougue et passion !

Mais Stéphane, sachant que tous les soirs elle voyait son mari devenait fou de rage et de désir à la fois. Il les imaginait sans cesse, étant à la fois excité par l’image de Léa prenant son pied et jaloux par la vision de son mari lui donnant le plaisir que lui, Stéphane aimerait lui donner. Le Dimanche suivant, le mari de Léa est repartit voler par le monde. C’est avec tristesse qu’elle l’a laissé partir. Ils avaient passé une semaine si belle tous les deux ! Elle se rendit compte à quel point elle l’aimait en se retrouvant à nouveau seule. Elle n’avait presque plus envie de revoir Stéphane…

La semaine s’est déroulée d’une banalité à faire peur. Mais chaque jour, alors que son mari lui manquait de moins en moins, son désir remontait et elle était à nouveau heureuse de revoir Stéphane.

Nous sommes vendredi, Elle a remis la même tenue qu’elle avait le lundi il y a deux semaines, son chemisier, sa jupe et sa veste violette, ses escarpins noirs. Stéphane n’avait pas dormi de la nuit, il avait pensé à Léa toute la nuit, il n’avait désormais plus qu’une idée en tête ; lui faire l’amour. Il avait tourné et retourné dans sa tête tous les moyens de pouvoir le faire sans qu’elle ne l’envoie chier. Ce qui avait eu pour effet de l’exciter par la même occasion. Il n’avait pas trouvé de solution vraiment super.
C’est en la voyant ce matin, vêtue de la même façon que ce fameux lundi, il s’en souvenait parfaitement, elle l’avait invité à déjeuner avec elle qu’il s’est senti pousser des ailes, il a vu sa tenue vestimentaire comme une invitation à aller plus loin, son sourire comme un signe apparent qu’elle avait envie d’aller plus loin. Il était soudain très sur de lui !
Il a fait au pif !
– Léa, tu sais Mme Ragondy m’a demandé de faire un dossier pour un client, il est assez conséquent, je peux demander à quelqu’un de m’aider. Tu ne voudrais pas être ce quelqu’un ?
– Heu… si bien-sûr ! On s’y met quand ?
– J’ai toute la paperasse chez moi, on peut y passer après le boulot ce soir, comme ça je t’en fais une photocopie et tu peux les regarder chez toi !
C’était hyper bancale comme prétexte pour qu’elle vienne chez moi, d’abord les papiers n’auraient jamais du être chez moi, ensuite, elle n’a pas a faire ça chez elle ! Enfin bon, un prétexte de merde quoi ! Mais elle n’a rien dit, elle s’est contentée de dire « Pas de problèmes ! » avec un grand sourire ! Ma foi ! Tant mieux. Au moins ce soir, elle sera chez moi…

Il est 17h, tous les collègues commencent à partir, Léa range ses affaires, je la rejoins dans son bureau afin que nous allions ensemble au rez de chaussé puis chez moi ! Je suis très impatient, mais de plus en plus anxieux en la voyant si belle, si lointaine, elle a l’air occupée.
– Ca va ?
– Oui oui, enfin… J’ai perdu un papier important ! Je n’arrive pas à remettre la main dessus.
– Si tu es fatiguée on peut remettre notre dossier à demain si tu veux.
– Non non ça va t’inquiète pas ! J’arrive tout de suite !
– Tu veux que je t’aide à chercher ? Attends.
Stéphane pose ses affaires et s’approche de son bureau.
– Ca ressemble à quoi ? Dit-il.
– Oh heu… ça ressemble à… Sur l’entête il y a marqué…
Léa n’eut pas le temps de finir sa phrase. Stéphane, dans un élan libérateur, et la voyant affairée comme ça, les cheveux presque décoiffés, le décolleté plongeant, n’avait pas pu résister à son envie trop grande de goûter enfin ses lèvres soyeuses.
Et c’est la prenant par les épaules la tournant vers lui qu’il a posé ses lèvres presque violemment sur les siennes. Il eut tout de suite peur de sa réaction, mais contre toute attente, plutôt que de le repousser elle répondit à son baiser fougueux.
Elle prit même sa tête dans ses mains et appuya encore ses lèvres sur les siennes. Ils ouvrirent la bouche presque en même temps et leurs langues entamèrent une douce et langoureuse danse érotique.

Dans cette étreinte si longtemps espérée, Léa sentant une trop grande onde de plaisir dans son bas-ventre laissa échapper un petit cri qui ne passa pas inaperçu à Stéphane et qui eu pour effet de faire grandir encore son érection naissante. Sa respiration se fit plus courte et plus bruyante, il avait envie de la prendre tout de suite sur le bureau, mais ne voulait pas trop précipiter les choses de peur de la brusquer.

Ses mains commencèrent à caresser le dos de Léa, sa nuque, ses cheveux, tenir fermement ses cheveux, puis il osa une main sur son sein gainé par le soutien gorge. Il malaxa avec énormément de plaisir ce sein délicieux. Il avait envie de lui arracher son chemisier et son soutien-gorge pour goûter aux douceurs infinies de la peau de ses seins. Mais il se retint avec beaucoup de volonté et entama plutôt un lent déboutonnage du chemisier blanc.

La poitrine de Léa se levait et se baissait rapidement au rythme de sa respiration rapide. Sa culotte était trempée, le désir la tenait aux tripes, elle avait envie envie envie… Tellement envie de lui ! C’était intenable ! Elle se décida à aider Stéphane à défaire son chemisier, il était si excité que ses doigts tremblaient, il était fébrile et avait du mal à défaire les boutons, chaque fois il se retenait de tout arracher.
Elle se recula alors de lui pour défaire son chemisier et remarqua alors son énorme érection à travers son pantalon. Une vague de désir la saisit toute entière, elle crut qu’elle allait jouir comme ça, sans s’être touchée, juste en le regardant fou de désir pour elle, tendu à l’extrême, et très à l’étroit dans son pantalon. Elle ouvrit la bouche pour se ressaisir et ôta enfin son chemisier, elle se retrouva alors en soutien-gorge face à lui.

Le désir était palpable dans la pièce, ils avaient tous les deux l’impression qu’elle était surchauffée ! Ils se faisaient face sans oser s’approcher, de peur que tout explose ! Stéphane, ne supportant plus la chaleur, entreprit de défaire sa chemise. Il défit un à un les boutons, ouvrit lentement sa chemise et la laisse glisser au sol. Il se trouvait torse nu.

Soudain Léa, qui était près de la porte se retourna, ouvrit la porte à la volée, se retourna vers Stéphane et lança un coquin « Attrape moi si tu peux ! », ajouta un clin d’œil et s’enfuit en courant dans le couloir du 4eme étage, en soutien-gorge, talons et jupe serrée ! Le sang de Stéphane ne fit qu’un tour. Et il couru derrière Léa qui malgré tout était déjà loin !

Il la rattrapa aisément et la plaqua contre le mur, lui tenant ferment les mains. Il se colla à elle appuyant de tout son poids sur elle pour ne plus qu’elle s’échappe. Ce petit jeu l’avais plus excité que ce qu’il n’aurait dû et son érection était resté intacte. Léa sentit son sexe dur sur son ventre, elle gémit un bref instant, sentant cette anatomie contre elle, tout contre elle.
Lui sentait ses seins écrasés contre son torse tout en l’embrassant. Il la serra dans ses bras. Puis d’un coup rapide elle défit la fermeture éclair de sa jupe et la fit glisser au sol. Elle enleva ses escarpins, puis ôta le pantalon de Stéphane à son tour. Il se retrouva en Boxer noir, une bosse énormément saillante dessous. Elle se retint de tout enlever et de caresser ce sexe superbement dur ! Elle était en culotte et soutien-gorge, très sexy, dans un ensemble noir et violet. Elle le prit par les épaules le plaqua à son tour contre le mur, se colla à lui et l’embrassa…

Mais tout d’un coup elle repartit en courant. Mauvaise idée ! Stéphane ne réfléchissait plus à présent, il la voyait courir presque nue devant lui, il se lança à sa poursuite. Elle eut le temps de rentrer à nouveau dans le bureau, il arriva en trombe, claqua la porte et se jeta sur elle. Il arracha son soutien-gorge puis sa culotte.
Elle le saisit avec force et le força à reculer contre le placard. Puis elle enleva son boxer aussi vite qu’elle le put, passant son sexe bandé ils se retrouvèrent alors nus tous deux, face à face une nouvelles fois.

Léa prit les devants cette fois encore. Elle s’approche lentement de lui, attrape son sexe d’une main. Il était chaud et si dur… Elle ne résista plus à l’envie d’y goûter. Elle s’accroupit alors et posa un doux baiser sur le gland turgescent. Il poussa un soupir profond. Puis doucement elle entama une fellation de plus en plus endiablée, alternant coups de langues sur le frein et va-et-vient plus ou moins rapides, avec ou sans masturbation de la main, plus ou moins profonde, tournant la main tandis qu’elle montait et descendait, caressant les testicules. Il avait posé une main sur sa tête et glissait dans ses cheveux. Il respirait très fort, lâchant un petit gémissement rauque de temps en temps. Cette femme le rendait fou. Mais il voulait lui la faire monter au 7eme ciel maintenant. Il voulait l’entendre gémir, crier !

Il la releva alors, la prit dans ses bras et la porta jusqu’au bureau. Il envoya valser tous les papiers présents et l’allongea avec douceur sur le bureau. Puis il embrasse ses seins, pris le téton dans sa bouche, joua avec, faisant monter le plaisir doucement. La respiration de Léa s’amplifia. Il descendit vers le jardin secret de Léa en baisers appuyés. Elle écarta les jambes et les plia elle-même. Il posa un baiser sur sa toison et descendit encore sur les lèvres lisses.
Il sortit la langue et toucha juste un très court instant son clitoris. Elle sursauta et poussa un petit cri. Puis il inséra sa langue sur tout le long des lèvres. Ouvrant le sexe de Léa à ses yeux gourmands. Elle poussa un soupir long et bruyant. Ouvrit la bouche ferma les yeux. Elle s’abandonna complètement à lui et il entreprit de la faire jouir.
Il écarta ses lèvres et joua avec sa langue sur le clitoris gonflé. Léa gémit, et plus il continuait, pus il allait vite, plus elle gémissait fort. Elle avait attrapé les cheveux de Stéphane et les tenait fermement.
Elle gesticulait de plus en plus. Le plaisir montait en flèche jusqu’à son paroxysme, et se cambrant d’un coup elle jouit avec force sous la langue de Stéphane.

Il s’approcha d’elle alors, puis, appuyant son sexe de tout son long sur le sexe trempé de Léa, il commença à aller et venir le long des ses lèvres intimes. Elle s’était relevée sur ses bras et prit la tête de Stéphane dans une main, le serrant contre elle. Stéphane avait entouré la taille de Léa d’un bras et la serrait contre lui.
Ils étaient à ce moment presque en fusion. D’un coup, le sexe de Stéphane entra en Léa. Ils ne s’y attendaient pas le moins du monde, mais ils furent plus que très agréablement surpris ! Stéphane allait et venait en Léa… Elle gémissait, elle ondulait du bassin, il lui suçait les seins… Puis…. La Libération vint d’un coup, sans prévenir, avec force et fougue ! Stéphane se laissa aller complètement, il fût pris de vertige tellement l’énergie lui manquait… Il l’avait fait… il avait fait monter Léa au 7eme ciel !

Proposée par Rayondesoleil11

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